Le mois dernier, Demir a annoncé qu’elle ne se rendrait pas en Égypte pour le sommet sur le climat, qui se tiendra dans la ville côtière de Charm el-Cheikh du 6 au 18 novembre. La raison en est, entre autres, le manque d’attention pour les droits de l’homme dans le pays. De plus, selon le ministre, les conférences portent « plus sur le prestige que sur le climat ».
VOIR. Le mois dernier, la ministre Demir a expliqué pourquoi elle ne voulait pas se rendre au sommet sur le climat en Égypte :
La COP de l’année prochaine aura lieu en novembre et se déroulera à Dubaï, aux Émirats arabes unis. « Comme je ne serai pas président de la Commission nationale climat l’année prochaine et que je ne serai plus porte-parole de la Belgique pour le Conseil européen de l’environnement, je n’aurais aucune fonction formelle lors de la COP. Je n’irai donc pas aux Émirats arabes unis », a annoncé Demir au Parlement flamand.
“Heureusement, la force d’une bonne politique climatique n’est pas déterminée par le nombre de mains que vous serrez dans le désert, mais par la politique que vous menez vous-même”, a ajouté le ministre.