Critique : Rayland Baxter :: « Si j’étais un papillon »


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Une fabrique d’élastiques utilisée comme studio peut aussi être empreinte d’un génie loci. En tant que « Rubberband Man », le géant du Tennessee a pour devise « Attrape-moi si tu peux »: Beaucoup d’accroches de style, les options sonores locales ne passent pas inaperçues. Les références au blues tournent au beatlesque (« Buckwheat »), avant qu’il ne devienne le copain de Huck Finn en tant que ballade au piano dans le souvenir d’enfance « Tadpole ».

L’imagination d’être un papillon inspire Rayland Baxter

Seul Muhammad Ali a réussi à être un papillon et à piquer encore comme une abeille. L’imagination d’être un inspire Rayland Baxter dans un manège de dix chansons à l’esprit libre et autonome qui est aussi un requiem pour son père, décédé en 2020. Bucky Baxter (Steve Earle, Dylan) s’est encore immortalisé deux fois avec son pedal steel.

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