Vandalisme, bric-à-brac et dealers à Dierenweide Stroomdal : « Extrêmement désagréable »

Les volontaires du Dierenweide Stroomdal à Beilen doivent maintenant faire face au vandalisme, laissant derrière eux des ordures et des revendeurs pendant environ six semaines. « Nous trouvons cela particulièrement désagréable pour les enfants qui travaillent avec nous », répond Peter Vereijken de Stichting Dierenweide Stroomdal.

« Cela vous fait vous sentir en danger », poursuit-il. « Sûrement parce qu’ils viennent voir les animaux sept jours sur sept. Par exemple, après leurs devoirs. Ensuite, ils n’aiment pas être confrontés à des jeunes qui ne viennent pas chercher les animaux. »

La fondation a fait appel à la police, qui patrouille désormais plus souvent dans la zone. De plus, la fondation a installé des caméras de sécurité supplémentaires. « Nous voulons attendre la fin pour le fermer. Nous voulons juste être un pâturage pour animaux respectueux du public. Et ne pas avoir à tout fermer avec des clôtures », décrit-il le scénario apocalyptique.

Vereijken dit que tout le monde est le bienvenu au pré des animaux. « Nous avons une couverture de terrasse. Tout le monde peut s’y asseoir pour s’abriter ou se détendre. » Mais ce n’est pas pour cela que tout le monde l’utilise ces derniers temps. « Dernièrement, nous voyons des jeunes assis le soir apporter de la nourriture et des boissons et commencer à fumer. Ils nous laissent tout le désordre. »

Cela ne s’arrête pas là. Il y a aussi de plus en plus de destruction. Et il y a un accord. Une fois, ils ont remarqué qu’il y avait une caméra de sécurité à l’endroit où ils faisaient affaire. Cette caméra a ensuite été détruite. « Mais les images sont dans le nuage et nous l’avons partagé avec la police. »

Vereijken voit qu’il y a toujours les mêmes « personnes centrales », mais aussi un certain nombre d’autres. « Nous en avons reconnu quelques-uns. Nous y sommes même allés en tant que conseil d’administration. » Mais ce n’est pas ce que le conseil fera avec les concessionnaires. Mieux vaut laisser ça à la police.

La destruction se produit souvent par phases. La fondation a repris l’exploitation de la municipalité pendant neuf ans. Ensuite, les choses vont bien pendant un certain temps, puis il y a une autre phase de destruction. Et cette phase dure maintenant environ six semaines.

Six semaines de nettoyage. « Citrouilles écrasées et plein de mégots. » Travail pour lequel les bénévoles ne viennent pas. « Les bénévoles viennent s’occuper des animaux, pas pour nettoyer les dégâts des autres. »



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