Review: Arctic Monkeys :: « The Car » – Voyez grand dès la première note


Cela commence par un bang – sous la forme de cordes qui se déclenchent immédiatement. Dès la première note, vous pouvez sentir que les Arctic Monkeys ont quelque chose de grand en tête ici. Puis une courte pause, Alex Turner hausse la voix : « Ne sois pas émotif, ça ne te ressemble pas. » Il chante mieux que jamais. Dans sa structure dramatique, « There’d Better Be A Mirrorball » sonne comme du cinéma grand écran, comme James Bond, comme Burt Bacharach. Il manque toujours la mélodie globale, comme « Make It Easy On Yourself » des Walker Brothers – mais bon, ce sont les Arctic Monkeys ! Ils s’éteignent au préalable.

Dès la première note, vous pouvez sentir que les Arctic Monkeys ont quelque chose de grand en tête ici.

Depuis qu’ils ont déchaîné un fouet indie-rock en 2005 avec « I Bet You Look Good On The Dancefloor », les quatre garçons de Sheffield ont essayé quelque chose de différent sur chacun de leurs six albums. Ils se sont avérés bons dans tout ce qu’ils faisaient et ils sont toujours restés les Arctic Monkeys. Cela ne change pas non plus avec son septième travail. Il n’est pas directement lié au prédécesseur susmentionné, mais plutôt au deuxième album des Last Shadow Puppets, le projet d’Alex Turner avec Miles Kane, qui visait des hauteurs cinématographiques similaires.

Les pauses sont complètement différentes de celles prévues. Dans « I Ain’t Quite Where I Think I Am », il y a au moins cinq chansons différentes, le son de la blaxploitation change avec la guitare wah-wah en soft rock et pop 10cc. Les talents de chanteur de Turner atteignent leur apogée sur « Jet Skis On The Moat », le chant de fausset à son meilleur. L’orchestre « Big Ideas », qui pourrait être une collaboration entre Burt Bacharach et Elvis Costello, est l’exécution de l’un, « The Ballad Of What Could Have Been ». Les cordes se relaient dans le rôle principal avec le groupe – partage d’emploi, pour ainsi dire. Et puis soudain cette guitare Eagles des années 70. Absurde mais approprié ! Comme les écouvillons de piano au lieu des riffs lourds habituels. Vous ne pouvez vraiment pas mettre quelqu’un d’autre dessus. Mais si jamais un groupe sait comment y parvenir, c’est bien celui-là.

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