Un chef d’entreprise roumain (43 ans) d’Anzegem en prison pour trafic d’êtres humains et travail au noir
L’homme est suspecté dans une enquête judiciaire pour traite des êtres humains à travers l’exploitation économique, le travail non déclaré, le faux travail indépendant organisé et la fraude aux allocations avec droit passerelle pendant la crise du coronavirus.
Détention prolongée
Hier matin, la chambre du conseil de Bruges a déjà prolongé d’un mois son arrestation. Il s’agit de deux familles roumaines actives dans des travaux de démolition et dans des entreprises de tri des déchets. Ils recrutent des compatriotes qui ont été hébergés ici dans des conditions douteuses. Les victimes sont également sous-payées pour leur travail. C’est pourquoi des perquisitions ont été effectuées la semaine dernière à Anzegem, Deerlijk et Courtrai. L’une des familles impliquées a déjà été reconnue coupable d’infractions similaires.