Critique : Odeville :: Au-delà du silence


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Odeville était un groupe post-hardcore. Le trio s’éloigne de plus en plus de ce passé : sur leurs deux disques les plus récents, PHOENIX et ROM, ils ressemblaient à une version allemande de Biffy Clyro – avec un penchant pour les hymnes, les grands gestes et ne craignant pas d’être proches de soi-disant des poètes pop comme Revolverheld et Johannes Oerding , zu Selig, Jupiter Jones and Co.. Potentiellement dans les charts, mais toujours sous le radar de la presse nationale, des festivaliers et des fans des actes mentionnés.

Avec JENSEITS DER STILLE, ils retrouvent en partie le chemin de leurs racines. Le chanteur charismatique Hauke ​​​​Horeis porte toujours son cœur sur sa main, peint des images entre lumière et obscurité, chante contre les fascistes et pour l’amour et choisit avec sa puissante section rythmique malgré « Oh-Oh » et les chœurs d’enfants, les claquements de mains, les cordes, fort -silencieux -Dynamique et lignes banales du type « A la fin de la journée nous recherchons tous le bonheur » ne prennent jamais le chemin de la facilité. Le pathos reste un moyen pour une fin, la passion reste un élément central de leur travail. C’est censé être « l’album le plus dur, le plus sale, le plus socialement critique et le plus politique de notre trilogie », dit Odeville, reprend Fury In The Slaughterhouse en même temps et nous donne un autre hymne avec « Stille » (sur la mort), qui malheureusement encore une fois n’a pas de sens commercial sera. Un numéro d’équilibriste que peu de groupes réussissent à faire.

L’album « BEYOND THE STILLE » d’Odeville dans le stream :

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