Le maire Koen Schuiling a mis le beau drap mercredi. Il a précisé qu’après la guerre, la municipalité avait traité « sans cœur » le couple juif Serphos-Menko. Le petit-fils des propriétaires de l’époque, Hubert van Blankenstein, reproche à la municipalité qu’après la guerre, sa famille ne puisse plus vivre dans la villa qui est maintenant louée et a finalement dû vendre la maison à un prix trop bas.



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