Le fait que Beşiktaş, qui était sous pression tout au long du match, ait été mis dans l’ambiance de l’équipe qui a raté la victoire dans les dernières minutes n’est rien d’autre que la dissimulation des faits du match.
Il suffisait de regarder la position de Weghorst devant le but adverse pour réfléchir à ce que Ghezzal avait fait après son entrée dans le match.
Si un entraîneur observant 75 minutes de pression devant un fan majestueux n’a pas pu se rattraper avec 15 minutes de football, les deux têtes de Weghorst n’ont mérité que Valerien Ismael.
Il faut rappeler à un entraîneur qui a dit “je ne m’inquiète pas pour l’avenir” après le match, qu’il est l’entraîneur d’une équipe qui a perdu 7 points lors des 3 derniers matchs à Istanbul.
Il y avait deux noms qui étaient spéciaux sur le terrain;
Tayyip Talha de Beşiktaş, Szalai de Fenerbahçe.
La qualité de Szalai au niveau européen est évidente, mais je pense que Tayyip Talha contribuera grandement à la défense de Beşiktaş.
J’ai remarqué que l’arbitre Volkan Bayarslan avait laissé les cartes de Weghorst et Szalai dans sa poche.
Il a également partagé l’idée du match nul avec les deux entraîneurs, et cela a eu un effet très négatif sur le temps de jeu du ballon.
Les arbitres et les joueurs alités sont l’une des principales causes du primitivisme dans le football.