Un joueur du FC Volendam soupçonné d’agression grave dans une discothèque d’Amsterdam

Tayrell W., joueur du FC Volendam, est l’un des suspects de l’agression grave d’une femme de vingt ans dans une boîte de nuit de l’Amstelstraat. Il s’est reconnu hier sur les images diffusées par la police dans l’émission d’enquête Bureau 020 et signalées à la police. Il n’a pas encore été arrêté, mais se présentera ultérieurement au commissariat. L’autre homme est également soupçonné d’agression.

La police a montré des images de deux suspects hier AT5Le programme d’enquête du Bureau 020. En conséquence, Tayrell W. a signalé à la police et a informé son club FC Volendam. W. a reçu son premier contrat professionnel en juin dernier, avec lequel il s’est engagé au FC Volendam jusqu’en 2025. Quelques semaines plus tard, l’incident a eu lieu dans la boîte de nuit.

FC Volendam en retard AT5 sachez qu’il s’agit bien du joueur en question. « Nous ne pouvons pas encore dire si son implication a des conséquences sur sa carrière de footballeur. Nous collectons actuellement les faits pour arriver à la meilleure image possible. Ensuite, nous pourrons prendre position », a déclaré le porte-parole du FC Volendam, Sonny Sier.

W. a joué avec Jong Volendam contre Scheveningen hier. Il a été remplacé à la 80e minute. Jong Volendam a perdu ce match 1-0.

L’incident s’est produit dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 juillet. La femme a été attrapée par la poitrine dans la boîte de nuit. Quand elle a voulu se défendre contre cela et repousser l’homme, elle a été attaquée par un deuxième homme. Il l’a attrapée à la gorge et l’a frappée à plusieurs reprises sur la tête. Alors qu’elle tentait de se défendre contre cela, elle a reçu plusieurs coups des deux hommes.

Finalement, d’autres visiteurs et portiers ont séparé les hommes et la victime. À l’hôpital, il s’est avéré qu’elle avait une molaire cassée et une dent de devant qui bougeait. Sa mâchoire a également été cassée à trois endroits.

L’impact est énorme : elle a dû être opérée le jour même. Huit vis ont dû être placées dans sa mâchoire et elles ont dû y rester pendant six semaines. Toutes ces semaines, la femme devait constamment garder les dents ensemble, elle ne pouvait donc pas parler et elle ne pouvait boire que des aliments liquides à travers une paille.

Le deuxième suspect ne s’est pas encore manifesté. La police lui conseille de le faire quand même, sinon les photos sur lesquelles il est reconnaissable seront redistribuées.



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