Enquête sur un éventuel comportement transfrontalier de l’ancienne présidente de la Chambre Khadija Arib

Le Présidium de la Chambre des représentants enquêtera sur un éventuel comportement transfrontalier de l’ancienne présidente de la Chambre et actuelle députée du PvdA Khadija Arib. Le présidium le fait en réponse à un avis du procureur de l’État selon lequel CNRC a vu. Le procureur de la République avait reçu des informations faisant état d' »abus de pouvoir », d’un « règne de terreur » et d’un « environnement de travail dangereux ».

La présidente de la chambre, Vera Bergkamp, ​​a décidé, sur les conseils du procureur général, d’ouvrir une enquête sur Arib. Il est unique que la présidence ait mené une enquête sur le comportement d’un ancien président de la Chambre. Le présidium est la gestion quotidienne de la Chambre des représentants et, en plus de Bergkamp, ​​​​se compose de huit députés.

Les rapports ont été faits dans des lettres anonymes. Les signaux de l’une des lettres, datée de juillet de cette année, indiquent un « environnement de travail dangereux », cite CNRC Procureur de la République Pels Rijcken. Les plaintes formulées sont également confirmées par la « direction officielle » de l’organisation actuelle de la Chambre des représentants, rapporte le journal.

De plus, il n’y aurait pas d’incidents, mais un « problème structurel ». Selon l’avocat de l’Etat, la Chambre des représentants a donc une « obligation d’agir », renvoyant à une enquête.

La nomination d’Arib au comité temporaire du corona a également été une raison pour que l’avocat de l’État fasse mener une enquête.

Arib était selon CNRC pas au courant de l’enquête. Dans une réponse au journal, elle se dit choquée et ne se reconnaît pas dans les accusations.

La présidence a annoncé mercredi soir qu’elle regrettait que l’avis du procureur du pays ait été émis avant de s’entretenir avec Arib. Cette réunion devra avoir lieu avant que la présidence n’apporte une nouvelle réponse.



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