Les avocats du présumé grand criminel Ridouan Taghi estiment que le ministère public n’aurait jamais dû poursuivre leur client. Une grande partie des preuves dans l’affaire consiste en des messages téléphoniques cryptés piratés, dans lesquels des meurtres ont été mentionnés. Cependant, la défense estime que la justice néerlandaise a obtenu ces données de manière incorrecte.



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