Il écrit : « Nous vivons dans une ruelle étroite avec des chênes vieux et épais les uns des autres. Il y a un trafic agricole quotidien là-bas. Deux fois cette semaine, il m’est arrivé qu’un tracteur soit arrivé avec des pneus de la moitié de la largeur de ma voiture, et derrière lui une si grosse machine qui injecte du lisier dans le sol. Aucun d’eux n’avait de plaque d’immatriculation et l’un d’eux s’est approché de moi. Je ne pouvais résoudre cela qu’en rampant dans la berme sur l’herbe entre deux chênes. La largeur de cette machine à lisier me semblait dépasser 2,50 mètres. Est-ce permis ? Et la taxe de circulation ne s’applique-t-elle pas à ces véhicules ? Leur poids provoque une usure plus importante de la surface de la route et un effritement des bords, par rapport aux voitures particulières.
L’éditeur automobile Niek Schenk répond : « Les véhicules agricoles peuvent avoir une largeur de 3,00 mètres au-dessus des pneus. Les nouvelles remorques peuvent récemment ne mesurer que 2,55 mètres de large mesurés sur le corps. Jusqu’au 1er janvier de cette année, une largeur maximale de 3,00 mètres s’appliquait. Plus large n’est autorisé qu’avec une dérogation. De plus, depuis le 1er janvier, il existe bel et bien une obligation d’immatriculation pour les véhicules agricoles. Mais il n’y a toujours pas de taxe de circulation à payer pour cela.
Nos éditeurs automatiques répondent aux questions des lecteurs chaque semaine. Envoyez votre question à Niek Schenk.
D’autres questions et réponses se trouvent dans notre dossier.