EST il est temps de retourner sur la lune. Près de cinquante ans après la mission Apollo 17, l’homme est prêt à retourner marcher sur le satellite. Aujourd’hui, lundi 29 août, à 14h33 Italiendécollera du Kennedy Space Center en Floride le vecteur SLS, Système de lancement spatialqui portera la capsule Orion autour de la lune. Il n’y aura pas d’hommes à bord. Aujourd’hui, en fait, s’appelle Artémis In’est que la première étape d’un programme qui ramènera des astronautes sur la Lune fin 2025.
Artemis I, la première étape d’un programme ambitieux
La Système de lancement spatial il mesure 111 mètres de haut et a un diamètre de 8,4 mètres. Est considéré la plus grande fusée jamais construite. Sur son dessus il est intégré la capsule Orion qui, en fait, n’accueillera pas des personnes en chair et en os mais trois mannequins équipés de capteurs (qui enregistrera les vibrations, les accélérations et les niveaux de rayonnement). Ces mannequins ont reçu des noms curieux : Commandant Moonikin Campos, Helga et Zohar.
Mais à bord il y aura aussi des instruments de dernière génération et des mini-satellites qui chassera l’eau et l’hydrogène sur la surface lunaire.
Artemis I ne sera donc que la première étape d’un programme réellement ambitieux. Prévu pour 2024, Artemis II amènera un équipage humain sur l’orbite lunaire mais sans atterrir en surface. Artemis III – prévue pour fin 2025 – sera plutôt la mission qui conduira physiquement l’homme à marcher à nouveau sur la Lune. Cette mission posera une base importante qui, à l’avenir, pourra faire du satellite un avant-poste pour les voyages vers Mars.
Entre 1969 et 1972, douze astronautes ont foulé le sol lunaire. À partir d’Artémis III La NASA prévoit de lancer des missions habitées environ une fois par an. Et le constructeur de l’atterrisseur lunaire sera les Space X Elon Musk.
Le rôle de l’Europe dans Artémis
Le directeur général de l’ESA (Agence spatiale européenne) Josef Aschbacher il a voulu souligner l’importance que cette mission porte pour notre continent. “C’est un moment historique pour l’Europe. Au cours de cette décennie, la première femme et le prochain homme marcheront sur la surface de la Lune et l’Agence spatiale européenne construit le matériel qui fournira la propulsion pour les transporter et les soutenir.“.
En fait, il n’y a pas qu’un seul facteur fortement symbolique pour les États-Unis : L’Europe est aussi impliquéede la réalisation du module de service européen de la capsule Orion à la présence de trois astronautes européens qui voyageront sur l’orbite lunaire.
C’est l’heure de la première femme sur la lune
À propos de ça, La NASA a confirmé à plusieurs reprises une volonté bien précise : amener la première femme sur la lune.
S’il est vrai que le nom de l’astronaute choisi n’a pas encore été annoncé, il est certain que dans l’équipage qui représentera le retour humain sur la lune il y aura aussi une femme. Ce sera le nôtre Samantha Cristoforetti? On va voir…
Le désir de retourner sur la Lune découle, comme déjà mentionné, également de la nécessité d’avoir un point d’appui pour les expéditions humaines vers Mars. Cela a également été confirmé par l’administrateur de la NASA lui-même, Bill Nelson : “Dans ces missions de plus en plus complexes, les astronautes vivront et travailleront dans l’espace lointain et développeront la science et la technologie pour envoyer les premiers humains sur Mars“.
Artemis I et le temps inconnu
Aujourd’hui à 14h33 italien il y aura le lancement de la fusée Artemis vers la Lune. Ces dernières heures ont cependant amené quelques inquiétudes au sommet NASA. Pas seulement pour conditions météorologiques incertain mais aussi pour quelques problèmes (résolus plus tard) dans le chargement des propulseurs. En fait, le chargement d’hydrogène liquide utilisé comme propulseur avec de l’oxygène dans le système de lancement spatial américain a été interrompu à deux reprises.
Orion sera en orbite autour de la Lune et finira par atterrir dans l’océan Pacifique.
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