Les 25 maires du Conseil de sécurité parleront en ligne jeudi soir de ce qu’ils appellent le flux migratoire.

Cela signifie que, entre autres, les conséquences de la situation dans le centre d’application surpeuplé de Ter Apel seront discutées. Le secrétaire d’État Eric van der Burg (Asile) et le ministre Hugo de Jonge (Aménagement du territoire) se joignent à la réunion.

Plus tôt cette semaine, le maire Koen Schuiling de Groningue, membre du Conseil de sécurité, a exigé que le cabinet propose vendredi une solution pour tous les dormeurs extérieurs à Ter Apel. Selon lui, le cabinet devrait recourir à la coercition si nécessaire si les municipalités ne veulent pas coopérer aux secours d’urgence en cas de crise. Le Conseil de sécurité plaide depuis un certain temps pour plus de coercition afin de créer des places pour les demandeurs d’asile.

Il y a également une demande de Van der Burg à toutes les régions de sécurité pour organiser 5 600 autres abris d’urgence supplémentaires. Les maires ont déclaré au cabinet en juin que leur aide se terminera le 1er octobre, car l’accueil des demandeurs d’asile n’est pas une tâche des municipalités. Les municipalités ne sont pas encore favorables à devoir à nouveau rechercher des centaines de lieux de crise par région de sécurité.

Vendredi, le cabinet et l’Association des municipalités néerlandaises (VNG) aborderont également ce sujet.



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