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Le choc contre son coéquipier Plazibat fait signe au poids lourd dont on parle beaucoup
DUSSELDORF – Quelques minutes après avoir renversé Benjamin Adegbuyi, Jamal Ben Saddik est également allé sur la toile. Consciemment. Il fait. A genoux, la tête entre les mains et un drapeau marocain sur le dos, il a mis un moment à se remettre. L’agitation autour de sa famille, les séances d’entraînement difficiles et la tension inévitable. Tout vient de sortir. « J’aime mon père et ma famille, d’où l’émotion. »