Laura Veirs vient de sortir son album « Found Light », le premier depuis longtemps à être produit par quelqu’un d’autre que son désormais ex-mari. L’album représente un moment « d’auto-souveraineté et d’indépendance artistique » pour l’auteur-compositeur-interprète américain et est également l’une de ses œuvres les plus abouties. Ce sera le disque de la semaine dans ces pages.

« Found Light » se démarque pour plusieurs raisons dans la carrière de Veirs. Dans sa critique, Jaime Cristóbal souligne que Veirs présente des paroles honnêtes sur « l’indépendance et la redécouverte sexuelle ». Il met également l’accent sur la « production rafraîchissante » de l’album et l’utilisation de guitares en nylon, et le fait que Veirs a enregistré des voix et des guitares simultanément pour la première fois. Ces détails sont capturés dans le single ‘Seaside Haiku’, la chanson du jour d’aujourd’hui.

« Seaside Haiku » présente un côté grunge dans les guitares et la batterie, mais les guitares acoustiques apportent une couche « onirique » (selon les mots de Cristóbal) et « onirique » à l’enregistrement. Veirs elle-même explique qu’avec l’instrumentation de ‘Seaside Haiku’, elle a voulu reproduire le mouvement des vagues de la mer, la façon dont elles se déroulent dans le sable et se retirent dans l’océan.

Ce single de ‘Found Light’ découle précisément de quelques haïkus que Veirs écrit pendant des vacances à Seaside, Oregon. Il parle d’apprendre à ne pas « trop ​​donner de soi » dans les relations « au détriment de ses propres besoins ». Elle explique que « la chanson est un appel à garder votre force et votre pouvoir, et à les partager les uns avec les autres au lieu de les donner complètement ». Le son de la chanson montre que Veirs a trouvé la paix dans ce sens.

El vídeo de ‘Seaside Haiku’ añade una dimensión de humor a toda la historia de la canción, al mostrarnos a Laura completamente enterrada en la arena (menos la cabeza) o tendida en la orilla de la playa, vestida con un traje de pescador de couleur jaune.



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