Le nombre de femmes chefs de parti aux prochaines élections municipales dans le Limbourg a fortement augmenté par rapport à 2018.
A cette époque, 41 femmes étaient encore en tête d’une liste de candidats. Il y en a maintenant 59.
Partis nationaux
Parmi les partis nationaux, le VVD classe la plupart des femmes au premier rang. Au total, il y en a huit. C’est dans l’ensemble il y a quatre ans de plus qu’il y a quatre ans. Car il y a aussi des communes où il y avait une femme chef de parti en 2018, mais plus maintenant. Il y a de nouvelles dirigeantes du parti VVD à Weert, Sittard-Geleen, Valkenburg et Horst aan de Maas.
Dans les listes de combinaison progressive, cinq femmes mènent la liste, deux mais en 2018.
secrétaire d’État
Au bilan, le CDA compte le même effectif avec sept femmes qu’il y a quatre ans. Mais il y a cinq nouveaux chefs de parti à Beesel, Eijsden-Margraten, Sittard-Geleen, Venray et Echt-Susteren. En revanche, à Meerssen, Roerdalen et Maastricht, pour diverses raisons, plus aucune femme ne figure sur la liste. A Maastricht, par exemple, la future chef du parti Vivianne Heijnen est devenue secrétaire d’Etat.
Le D66 est le seul parti national qui compte moins de femmes chefs de parti dans le Limbourg qu’en 2018, soit quatre au lieu de six. Cela est aussi principalement dû aux circonstances locales. Par exemple, D66 ne participe plus à Kerkrade, où le parti avait une femme en tête en 2018.
Fêtes locales
Les partis locaux ont ajouté six autres femmes chefs de parti. C’est plus du double. C’est le cas, par exemple, des grands partis locaux GOB à Sittard-Geleen avec la présidente du parti Yvonne Salvino et le Parti des personnes âgées Heerlen (OPH) avec l’échevine Ariane Keulen.