Meloni : « Fiers de la flamme, les électeurs choisiront le présidentialisme »


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Toujours la polémique sur le présidentialisme. Silvio Berlusconi s’est dit « indigné et aigri » par les « mystifications par la gauche de mes propos sur le président Mattarella ». Letta a publié une vidéo en trois langues pour que la presse internationale se souvienne « des alliances européennes dangereuses de Giorgia Meloni »

14 août 2022

Lu comme Meloni en 3 langues : « Pd c’est l’Europe, elle c’est Orban-Vox »
  • 9:38

    La pilule de Berlusconi : « Politique humaine mais rigoureuse sur les migrants »

    « Je ne sais pas si vous comprenez, mais une pilule par jour éloigne le médecin. Une pilule par jour dans notre programme devrait éloigner les messieurs de la gauche. Aujourd’hui, on parle d’immigration clandestine. L’immigration clandestine est un trafic d’êtres humains infâme et une menace sérieuse pour notre économie et notre sécurité. Mon gouvernement l’avait pratiquement arrêtée, avec seulement 4 000 immigrés en 2010, aujourd’hui elle est à nouveau un grand danger pour l’Italie ». C’est ce qu’a déclaré Silvio Berlusconi, dans la vidéo quotidienne habituelle pour illustrer le programme du mouvement bleu.

    Silvio Berlusconi et Adriano Galliani en tribune hier à Monza pour le match face au Torino ANSA / ROBERTO BREGANI

  • 9:26

    Toujours la polémique sur le présidentialisme

    Toujours la polémique sur le présidentialisme. Silvio Berlusconi s’est dit « indigné et aigri » par les « mystifications par la gauche de mes propos sur le président Mattarella ». Hier, le secrétaire du Parti démocrate, Enrico Letta, a présenté le programme des élections : droits et travail au centre mais aussi UE, démocratie et participation. Letta a ensuite sorti une vidéo en trois langues pour la presse internationale, pour rappeler « les dangereuses alliances européennes de Giorgia Meloni ».

    Réforme présidentielle, les règles du changement de la Charte
  • 9h21

    Brunetta : Je ne postule pas, nous avons maintenant un scénario dystopique

    « Aucun regret et aucun regret » mais « un peu de douleur ». Ce sont les mots utilisés par le ministre de l’Administration publique, Renato Brunetta, dans une interview, annonçant la décision de ne pas se présenter aux prochaines élections. « Ce fut un mois d’émotions fortes et de décisions difficiles. J’ai vu FI contribuer à la chute de Draghi – souligne-t-il – Le gouvernement le plus crédible, autoritaire et sérieux, qui pourrait nous sortir d’une situation tragique qui a vu s’additionner pandémie, guerre, inflation et propagation menaçante. Un acte incroyable et incompréhensible ». Le rêve de Brunetta était de « voter en fin de législature, après une loi de finances Drago forte et structurée. Maintenant, nous avons un scénario dystopique, le pire possible ».



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