A partir d’aujourd’hui, il y a une raison de plus de profiter du thon : il réduit le risque de cancer du côlon. Le professeur Luca Piretta, gastro-entérologue explique


Cconsommer du thon et du poisson en conserve réduit le risque de cancer colorectal. C’est ce qui ressort d’une étude menée parMario Negri Institut de Recherche Pharmacologique IRCCS dans le cadre des activités deInstitut italien pour la santé planétaire (IIPH) et avec L’Université de Milan. Le résultat surprenant a été obtenu en examinant, pour la première fois, l’effet de la consommation séparément de celui du poisson frais.

Les résultats de la recherche

La recherche, publiée dans le Magazine Nutriments, donne des indications claires : chez ceux qui consomment régulièrement deux portions de 80 grammes chaque, chaque semaine de conserves de thon et de poisson l’incidence du cancer colorectal il est nettement inférieur et reste à 34%. « Les résultats de l’étude sont une confirmation supplémentaire que la consommation de thon en conserve et d’autres conserves dans l’huile peut être incluse dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée, avec de grands avantages pour le corps. Une hypothèse est que ces avantages sont liés au contenu de oméga 3 conserves de poisson à l’huile. C’est à propos de des acides gras aux propriétés bénéfiquesen particulier anti-inflammatoire. Le corps humain ne les produit pas, ils doivent être consommés avec de la nourriture », explique le Professeur Luca Pirettagastro-entérologue et nutritionniste àCampus biomédical Université de Rome.

Le thon : une bonne source de protéines

« Le thon en conserve est une bonne source de protéines à haute valeur biologique (25,2 grammes pour 100 grammes de thon égoutté), très utile pour développer et maintenir la masse musculaire et cela concerne à la fois les jeunes et les sportifs et les personnes âgéesoù le thon en conserve devient un outil fondamental dans prévention de la sarcopénie. En particulier, les protéines contenues dans le poisson sont de haute qualité: contiennent les acides aminés essentiels qui l’organisme ne peut pas synthétiser et que l’on ne retrouve pas dans les protéines végétales et qui ont un haute valeur biologique, donc facilement exploitable pour la synthèse protéique. De plus, les protéines de poisson sont transportées par d’autres nutriments tels que acides gras polyinsaturés oméga 3, minéraux et vitamines» poursuit le professeur Piretta.

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Les Italiens aiment le thon

Les Italiens reconnaissent la valeur des protéines de poisson, à tel point que, selon une recherche commanditée par ANCI Association nationale des conserves de poisson et de thon Doxasur le podium de fla protéine la plus consommée par les Italiens sont placés, presque sur un pied d’égalité, les thon en conserve, source préférée de 3 Italiens sur 10 (33%), les viandes blanches (36%) et les légumineuses (34%). Aussi, l’huile d’olive présente dans le bidon c’est un vrai aliment, sûr, non dégradé et non altéré, qui le reste même lorsque l’on ouvre le paquet de thon. Une recherche menée par Station Expérimentale de l’Industrie de la Conserve Alimentaire (SSICA) a montré, en effet, que cette huile gardait arôme, saveur et ses qualités organoleptiques. De plus, il acquiert du thon oméga 3 et vitamine D.

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