“Gonfler les embouteillages” aux rares points d’écoute
Respect pour les nombreux agriculteurs qui luttent dans cette sécheresse persistante pour sauver d’une manière ou d’une autre leur gagne-pain. En plus de la sécheresse, une vague de chaleur approche, ce qui peut être encore plus dommageable pour les cultures. (Lire la suite sous la photo)
Peu de points de tapotement restants
Les agriculteurs doivent rechercher les quelques points de prélèvement encore disponibles. De nombreux bassins tampons sont presque vides, ce qui ne permet plus de pomper l’eau. Les ruisseaux et autres cours d’eau non navigables n’offrent aucune consolation non plus, car il y a eu une interdiction de pomper là-bas pendant un mois. S’il reste de l’eau. Les agriculteurs ne peuvent plus aller chercher de l’eau dans l’Yser non plus. Ainsi, tous les producteurs de cultures doivent compter sur les points de prélèvement qui sont toujours là.
Des entrepreneurs tels que Bart les aident dans cette tâche. “Si nous n’arrosons pas maintenant, ces plantes s’arrêteront et aucun fruit ne sortira. Il se nourrit pour survivre. Nous devons répéter cela au moins tous les 3 jours, sinon plus aucune fleur n’arrivera et tout s’arrêtera. “
Occupé à Menin
Les voies navigables, comme la Lys ou les canaux, sont donc très fréquentées. Les agriculteurs y puisent de l’eau pendant la journée. ils arrosent le soir ou la nuit. Car irriguer pendant la journée signifie que les cultures risquent de “brûler”. Il y a un tel point d’écoute à l’écluse de Menin qui a été occupé par les candidatures. (Lire la suite sous la photo)
Chose chère
Le pompage de l’eau coûte cher aux agriculteurs. Le transport aller et retour, le carburant qui l’accompagne, le temps qui y est consacré… L’entrepreneur Bart le déclare également : “C’est déjà 60/70 euros de l’heure que l’agriculteur doit payer. Tout doit venir de sa culture. S’il a encore des prix contractuels, tout est fixe. Il n’en reste pas grand-chose.”
Et tout cela pour sauver un gagne-pain qui est déjà sous pression en raison de la sécheresse. Certaines cultures comme celle des haricots semblent déjà presque perdues. (Lire la suite sous la photo)
Frustration des cyclistes
Parce que les agriculteurs ont peu de robinets, ils sont obligés de trouver de l’eau dans les quelques endroits le long des rivières où ils peuvent atteindre avec leurs tracteurs. Ensuite, ils doivent parfois traverser le centre-ville en voiture, où ils reçoivent parfois des reproches.
Les points de captage sont souvent situés à proximité d’un chemin de halage. En raison de la foule, il y a une épaisse couche de terre sablonneuse sur le chemin de halage à Menin, qui est ameublie par les va-et-vient des tracteurs. Cela provoque de la frustration chez les passants et les cyclistes. Là aussi, un certain respect pour l’agriculteur qui lutte pour ses revenus est de mise.