Les terroristes de Zaventem voulaient en fait attaquer le football européen en France

Environ 75 000 personnes ont afflué au Stade de France ce soir-là. Le président français François Hollande s’est également assis dans les tribunes pour encourager l’équipe nationale française, qui a joué contre la Roumanie.

Lorsque le groupe terroriste a frappé la Belgique en mars 2016, avec des attentats à l’aéroport de Bruxelles et à la station de métro Maalbeek, qui ont fait 32 morts, des rumeurs se sont rapidement répandues selon lesquelles ces cibles n’étaient en réalité qu’un deuxième choix. Les terroristes avaient agi plus tôt que prévu car ils avaient été acculés par l’arrestation de Salah Abdeslam, selon des conversations retrouvées sur un ordinateur abandonné.

La cellule terroriste a envisagé une longue liste de cibles, selon l’acte d’accusation. Il y avait aussi des cibles en Belgique. Par exemple, les ordinateurs des terroristes révèlent que des informations ont été recherchées sur les centrales nucléaires, le port d’Anvers, la caserne militaire de Flawinne et la résidence officielle du Premier ministre, selon HLN et Actualités VTM.

presse fuite

Dans une réponse, le parquet fédéral déplore que des informations issues de l’acte d’accusation aient fuité dans la presse trois mois avant le début du procès. “Par respect pour les victimes et leurs familles, le parquet fédéral a voulu maintenir une certaine confidentialité sur le document, du moins tant qu’il n’était pas certain que toutes les parties civiles l’aient reçu”, a déclaré Eric Van Duyse, porte-parole du parquet fédéral. .

Les journalistes reçoivent généralement une copie de l’acte d’accusation avant le début du procès, mais cela se fait de manière confidentielle. L’intention est que les journalistes puissent lire avant le début du processus. L’acte d’accusation ne sera rendu public qu’après que le procureur en aura pris connaissance, le premier jour du procès.



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