Klaus de Spandau lit le BZ tous les jours depuis 1953


Par Oliver Ohman

Ce jeudi est un jour férié à Spandau, car Klaus Liesecke aura 90 ans à Hakenfelde. Au BZ, nous envoyons un message d’anniversaire très spécial. Le célébrant est l’un de nos lecteurs les plus fidèles !

Cher Monsieur Liesecke, tout d’abord, merci pour l’invitation ! Nous avons été autorisés à discuter longtemps avec vous et votre chère épouse Erika. Mec, c’était une belle matinée avec toi. Depuis combien de temps lisez-vous le BZ « Eh bien, depuis qu’il est revenu après la guerre », avez-vous répondu. C’était en 1953 et vous veniez de vous marier.

Klaus Liesecke avec sa femme Erika Photo : Ralf Gunther

En 1949, Erika vous a demandé de danser lors d’une fête d’été sous la tonnelle. « Puis le truc avec le chocolat et le voilier a commencé », nous a dit votre femme. Mais ils n’avaient pas besoin de tant de plaques, Erika était déjà amoureuse du jeune cordonnier, avec qui elle a ensuite traversé la Havel et traversé la vie en voilier.

Jeudi est célébré où, bien sûr, à « Nordstern » sur la Havel. Votre club de voile depuis 73 ans. La fille Astrid (66 ans) arrive et la petite-fille Lilian (32 ans) aussi. Psst, c’est elle qui nous a donné le pourboire avec ton 90e…

« Si seulement Schupelius ne se plaignait pas toujours du Sénat », avez-vous répondu avec un sourire lorsqu’on vous a demandé ce qui vous a frappé aujourd’hui à la lecture du BZ. Vous passez deux heures par jour avec nous, lisant chaque mot. « Même l’avant-dernière page », as-tu dit avec un clin d’œil.

Klaus et Erika au milieu des années 1950 lors d'un bal peu après leur mariage à Spandau

Klaus et Erika au milieu des années 1950 lors d’un bal peu après leur mariage à Spandau Photo : Soldat/Ralf Günther

Erika dit que le quotidien est comme se brosser les dents pour vous. Vous dites que le BZ a un format pratique et que « tout est toujours inclus ». Quand quelqu’un comme vous dit ça, c’est un énorme éloge. Né à Spandau, maître cordonnier comme ton père, dirigea sa propre boutique dans la Zeppelinstraße jusqu’en 1995. Ils se tenaient devant les machines pendant dix heures par jour, peinaient avec des poinçons et des rebords, même quand cela devenait délicat, le travail passait en premier.

Chez BZ, nous sommes fiers d’avoir fait partie de votre belle et longue vie. A demain matin au kiosque, M. Liesecke. Et célébrez aujourd’hui avec vos proches!

Pour la visite anniversaire, le journaliste de BZ, Oliver Ohmann, livre le journal à l'un de nos lecteurs les plus fidèles

Pour la visite anniversaire, le journaliste de BZ, Oliver Ohmann, livre le journal à l’un de nos lecteurs les plus fidèles Photo : Ralf Gunther



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