Les conclusions du groupe de travail créé mardi ont conduit Borealis à décider de suspendre temporairement le contrat avec l’entrepreneur IREM-Ponticelli, responsable des canalisations mécaniques, le temps que l’enquête se poursuive au sein de l’entreprise.

Borealis est dans des chaussures étroites maintenant qu’une enquête est ouverte sur 55 victimes possibles de la traite des êtres humains dans le port d’Anvers. Les hommes – d’origine philippine et bengali – auraient perçu un salaire mensuel ne dépassant pas 650 euros pour travailler six jours sur sept.

Dans un commentaire à Gazette d’Anvers et Le temps Borealis a informé qu’il ne s’agissait pas d’employés de Borealis elle-même, mais d’employés de l’entrepreneur IREM-Ponticelli. L’entreprise chimique a maintenant suspendu le contrat avec l’entrepreneur.

Les travaux sur le chantier de construction de Kallo seront également interrompus pendant trois jours afin de continuer à assurer la sécurité de toutes les personnes qui y travaillent et de laisser plus de temps pour enquêter sur la question. La société n’a fait aucun autre commentaire pour le moment.



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