La personnalité médiatique Sita Salminen parle ouvertement de son expérience pénible à Ruisrock, où elle a participé avec ses amis.

Sita Salminen rappelle dans sa story Instagram que le harcèlement sexuel n'a pas sa place dans les soirées ou ailleurs.

Sita Salminen rappelle dans sa story Instagram que le harcèlement sexuel n’a pas sa place dans les soirées ou ailleurs. Jenni Gästgivar / Iltalehti

Une personnalité médiatique populaire et un lecteur de tube Sita Salminen, 29 ans, a participé vendredi avec ses amis au Ruisrock organisé à Ruissalo, Turku. Les festivités ont pris une mauvaise tournure lorsque Sita et son amie ont été kidnappées.

Dans la section des histoires d’Instagram, Sita parle ouvertement du harcèlement sexuel qu’elle a subi vendredi. Il débute sa publication par un avertissement de contenu, soulignant que le texte contient du vocabulaire lié au harcèlement sexuel.

En partageant son expérience bouleversante, la personnalité médiatique tient à souligner que rien n’est la raison du harcèlement ou du harcèlement. Selon lui, tout le monde devrait être autorisé à être en paix lors d’événements.

– Un rappel surtout à toutes les femmes : vous avez le droit de vous habiller aussi révélatrice que vous le souhaitez et personne n’a le droit de vous harceler à cause de cela. Période, Sita commence sa publication.

Dans le texte, Sita décrit comment son amie a remarqué qu’un homme plus âgé les filmait secrètement par derrière vendredi dans la zone du festival. Courageusement, Sita a décidé d’intervenir dans la situation et de ne pas simplement la laisser faire.

– Je suis allé voir ce type et il a juste montré à son ami une photo de nos fesses. Je lui ai dit d’enlever la photo et j’en ai aussi parlé aux salauds qui sont venus interviewer ce type.

Sita a abordé le harcèlement sexuel qu’elle a subi à Ruisrock. Selon lui, l’habillement ne devrait pas être la raison du harcèlement. Jenni Gästgivar / Iltalehti

Sita dit qu’elle veut parler du sujet à haute voix, car souvent dans les situations de harcèlement, la victime se sent honteuse ou coupable. Il souligne que notre culture enseigne que la faute incombe souvent à la victime et non à l’agresseur. Selon lui, le harcèlement sexuel est trop banalisé et n’est pas facilement traité.

– Je sais que pour beaucoup, la première réaction dans la même situation serait la honte et l’auto-culpabilité d’avoir choisi de porter une tenue révélatrice.

À la fin de son texte, Sita précise que chacun a droit à l’intégrité et à se sentir en sécurité, quelle que soit sa tenue vestimentaire ou son apparence. Selon lui, rien ne justifie le harcèlement ou le harcèlement, que la personne soit nue, en trench-coat, nue ou éteinte.

Par son expérience désagréable, il veut inciter les autres à intervenir avec plus de sensibilité dans les situations de harcèlement. En même temps, il encourage les femmes en particulier à s’habiller exactement comme elles le souhaitent.

C’est ainsi que Ruisrock a apprécié l’ambiance du festival vendredi.



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