Bryan Marchment aimait le hockey extrêmement physique.
zumawire.com/aop
Alpo Suhonen était entraîneur adjoint des Jets de Winnipeg lorsque Bryan Marchement a fait ses débuts sur la glace de la LNH en tant que première réserve du club. Il est vite devenu évident que le peloton canadien ne craint pas les rebondissements physiques.
– C’était un joueur talentueux. Un joueur très physique, décrit Suhonen.
À cette époque, il y avait plus d’extrêmes dans les jeux de rôle des équipes de la LNH qu’aujourd’hui, et Marchment ne présentait pas l’art de la rondelle, mais un jeu de tacle brutal. En 1996, alors qu’il représente les Oilers, il prend sa revanche Mike Gartner si sensiblement qu’il a dû changer le voyage de retour en avion en train pour protéger ses poumons endommagés.
Plus encore, la réputation de Marchment était cimentée pour ses combats. Bien que la collaboration ait été de courte durée, Suhonen se souvient exactement de cet élément du début de la carrière de l’homme décédé mercredi.
– C’était simplement un obstacle à son développement. Oui, on lui en a parlé, le pilote de chasse se souvient des réunions de formation des Jets au tournant des années 90.
Marchment a continué à choisir sa ligne et a joué dans la ligue pendant 17 saisons respectables. Au cours de ceux-ci, il a récolté 2 307 minutes de temps de glace et 182 points de puissance.
– Était un joueur plus talentueux qu’il ne l’est finalement devenu. Cet élément de combat semblait être si terriblement important, déplore Suhonen.
Marchment, 53 ans, qui était dépisteur pour les Sharks, a été retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel à Montréal, où il se préparait pour le prochain repêchage.
– Malheureusement, ces soi-disant crétins sont morts un peu plus et moins, de différentes manières. Il m’est venu à l’esprit qu’il aurait pu y avoir des conséquences, dit Suhonen et souligne cependant que la cause de la mort de l’ancien joueur n’est pas encore connue.
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