Le bien-être mental va mal pour les jeunes du Sud-Ouest flamand

« Cette étude montre clairement à quel point un réseau social est important pour les jeunes et qui vient de disparaître pendant la pandémie de corona », semble-t-il.

La recherche a été menée pendant toute la période corona et cela se reflète dans les chiffres. En moyenne, les jeunes accordent à leur bien-être social une note d’à peine 2,6 sur 6. Un jeune sur quatre à cinq indique qu’il n’est pas vraiment satisfait de sa vie. « Les jeunes qui ne se sentent pas bien s’adressent principalement à leurs parents et amis », explique Laurence Platteau de Logo Leieland, qui a organisé l’enquête avec Howest. « En vieillissant, l’importance des amis augmente. Et ce contact social a été perdu à cause de la pandémie de corona. Seul un sur dix fait le pas pour aider avec des problèmes mentaux. L’éventail des aides est très diversifié, mais les jeunes le savent . souvent encore trop peu. »

Défi

Logo Leieland veut guider et soutenir les organisations partenaires régionales avec les résultats de l’enquête. « Cette étude montre clairement l’importance d’un réseau social. Nous voulons également supprimer les obstacles à l’aide et donner davantage la parole aux jeunes », déclare Platteau.

Le président de Logo Leieland et le tout nouveau coprésident de Groen Jeremie Vaneeckhout ont souligné l’importance d’un conseil politique sur mesure pour la Flandre du Sud-Ouest. « Les problèmes dans cette région ne sont pas les mêmes que ceux des jeunes de, disons, Gand. Le travail ciblé est également important, car les chiffres montrent également que les jeunes de TSO, KSO, BSO et Buso se sont donné des scores inférieurs pour leur bien-être mental Le défi consiste également à combler cet écart, afin que nous puissions, espérons-le, présenter de meilleurs chiffres d’ici quelques années.



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