Le conseil provincial approuve à l’unanimité l’avis dans le dossier de l’azote
Il n’est pas surprenant que tout le dossier azote soit sensible dans une province agricole comme la Flandre occidentale. Un tiers de l’agriculture flamande est de Flandre occidentale. Avec de nombreux éleveurs de poulets, de porcs et de bovins. Moins d’azote signifie moins d’animaux et donc des conséquences dans l’industrie agricole. Dans la motion, le conseil demande que chacun joue son rôle. Député de l’Agriculture Bart Naeyaert : « Nous pensons que tous les secteurs doivent assumer leurs responsabilités. Outre l’agriculture, l’industrie et les transports sont également inclus. L’azote est déposé dans la nature, l’origine n’a pas d’importance. Chacun doit prendre ses responsabilités. »
La province demande également un soutien financier adapté, par exemple pour les éleveurs qui voient leur cheptel porcin réduit de 30%. Et des instruments de mesure corrects. « Il faut pouvoir mesurer ça de manière correcte. C’est aussi important que les entreprises aient encore une marge de développement. Tenir compte de cette réduction d’azote. Car s’il faut tenir compte de la question énergétique, de la question climatique, le bien-être des animaux, etc., alors vous devez également être capable de le faire. »