Les femmes du mouvement féministe prennent le terrain avec un appel sur les réseaux sociaux.


« Lsanglant invasion de l’Ukraine, décidée par Poutinenous rend de plus en plus persuadés que pour défendre les principes de paix il ne faut pas se réfugier dans le pacifisme générique, confiant que d’autres y penseront. Aujourd’hui on sent que c’est à nous, même les femmes, de nous protégeraidant l’Ukraine européenne à résister à l’agression sans précédent ».

Si ce n’est pas maintenant quand sur le terrain pour les femmes ukrainiennes

Elles ne peuvent se taire les femmes dul’association Sinon maintenant quand – Gratuitla mouvement féministe parmi les plus importants du monde occidentalEt. Surtout avec la fête du 8 mars qui approche à grands pas. ET prendre le terrain avec un fort attrait sur les médias sociaux.

« Allons vers ce 8 mars aux côtés des femmes ukrainiennes »

« Nous voulons que l’Europe soit la terre de la liberté des femmes: non seulement la liberté de toute oppression, mais la liberté d’exprimer pleinement sa différence humaine. Et nous n’acceptons pas que, sur notre terre commune, la logique du plus fort et l’usage des armes pour résoudre les conflits prévalent. Nous avançons vers ce 8 mars aux côtés des femmes ukrainiennesleur vie entrelacée avec la nôtre : leur dignité est notre dignité. Leur liberté est notre liberté. Sous le même ciel d’Europe ».

Sinon maintenant quand : « Soutien au courage des mouvements féministes russes »

Le mouvement toujours en pointe pour défendre la les droits des femmes si manifestement touchésen général, mais plus encore avec cette guerre absurde, il soutient aussi le courageuses associations féministes russes qui s’organisent ces jours-ci pour s’opposer à Poutine et à l’invasion de l’Ukraine en défiant les autorités d’un pays où être féministe est considéré comme un « péché mortel ».

« En tant que citoyennes et féministes russes, nous condamnons cette guerre », ont-elles écrit dans leur appel contre l’invasion, risquant 15 ans de prison, compte tenu des nouvelles lois qui condamnent quiconque prononce le mot guerre. Et aussi souligner comment « le féminisme comme force politique » il ne peut être du côté « d’une guerre d’agression et l’occupation militaire ».

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