Un mois après la fin du siège de l’usine sidérurgique Azovstal à Marioupol, la vie continue sans accès aux services de base. Environ 90 000 Ukrainiens sont restés à Marioupol avec peu d’accès à l’électricité, au téléphone, à Internet, à l’eau ou aux soins de santé. « C’était pire que l’enfer là-bas. Il n’y a pas de mots pour ça.”
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