« Giorgio, Giorgio! Tu tiens un peu trop ces mains sur le visage de Francesca ! ».
Ainsi parlait Barbara D’Urso, il y a exactement trois ans, dans un épisode de Grand frère VIP que je n’ai jamais oublié. Giorgio était Giorgio Tabellini, le petit ami de Francesca De Andrèle même que la fille du grand auteur-compositeur-interprète vient de signaler pour coups, après s’être retrouvée à l’hôpital avec un visage défiguré.
Francesca en un entretien récent il a dit que ces coups avaient commencé juste après Petite amie vip de 2019d’où elle était sortie fiancée à un autre concurrent, puis revenue pour rester avec Giorgio, qui avait également avoué l’avoir trahie alors qu’elle était enfermée dans la maison.
Quand j’ai lu la nouvelle de l’hospitalisation de la jeune fille, je suis allé reprendre les films de ce soir de mai il y a trois ans, quand j’ai été choqué par la violence refoulée que cet homme, entré dans la maison dans un état d’agitation manifeste, exprimait en chaque geste.
Comme secouer la tête entre ses mains, un geste que le présentateur a tenté de bloquer en hurlant depuis le studio et en le chassant. Ensuite, j’ai été frappé par l’attitude de Francesca qui a en tout cas défendu son petit ami avec conviction, alors qu’elle venait de recevoir la confirmation de la trahison de sa part..
Il y avait manifestement quelque chose de « cassé » dans leur comportement. Sa fureur, mais aussi celle de la sienne, qui lui répétait d’ailleurs : « Je vais te donner une gifle qui te fera détourner la tête. »
Par la suite, alors que Francesca venait de quitter la maison avec le nouveau petit ami, D’Urso invitait toujours les deux dans une autre transmission pour affronter Giorgio.
A cette occasion, il m’a semblé que la jeune femme s’était enfin libérée de ce lien manifestement toxique, choisissant un garçon plus calme et apparemment très amoureux d’elle.
Voir ce qui s’est passé aujourd’hui m’a donné le même doute qu’il y a trois ans, à savoir si cette exposition médiatique d’une relation malade était appropriée sans les « sous-titres » nécessaires.
Aujourd’hui, j’en suis sûr : la seule chose à faire avec Francesca était de l’aider à résoudre ses problèmes aux bons endroits. Certainement pas aux heures de grande écoute.
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