Inter, a offert Loftus-Cheek. Si Chelsea ouvrait en prêt…

Le milieu de terrain, issu des Bleus, aime bien Inzaghi mais coûte 20 millions. Et un vice-Brozovic cherche toujours

Dernièrement, l’Inter semble avoir différents intérêts londoniens, tous bleus. En effet, une bonne partie de l’été des Nerazzurri passe de Chelsea et pas seulement car Romelu Lukaku va devoir rapidement trouver des arguments convaincants pour faire digérer aux nouveaux propriétaires son éventuel prêt. Mais aussi parce qu’il y a un autre joueur qui n’est pas satisfait de la vie sous Thomas Tuchel et qui s’intéresse beaucoup à l’air à Milan : Ruben Loftus-Cheek, milieu de terrain anglais de taille XL, 191 centimètres de puissance, a été offert aux Nerazzurri, qui réfléchissent maintenant définitivement à l’accord.

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Le joueur de 26 ans, qui est né et a grandi dans les Bleus, a un contrat jusqu’en 2024, mais est considéré par le club londonien comme sortant. Aussi pour cette raison, dans son cas, il n’y a pas les mêmes hésitations qui existent sur Romelu : Chelsea n’a pas de maxi-investissements à défendre, mais il y a toujours un prix attaché à son tag et aussi assez élevé. Les Britanniques demandent 20 millions, trop pour les finances des Nerazzurri, mais la situation évolue : avec le temps, l’hypothèse d’un prêt pourrait également être envisagée et serait bien moins compliquée que celle éventuelle de son grand ami Lukaku. Le salaire de 3,5 millions ne serait donc pas un problème.

manœuvres entre

Dans le milieu de terrain changeant de Simone Inzaghi, Loftus-Cheek serait toujours un ajout aux caractéristiques uniques : différent du raffiné Mkhitaryan qui vient de s’enrôler et aussi du talentueux Albanais, Kristjan Asllani, le favori pour devenir le vice-Brozovic de l’entreprise, préférerait combler le vide. .vide de présence physique qui quitte Vecino et qui pourrait également quitter Gagliardini en cas de vente. Même dans un milieu de terrain talentueux comme celui de Simone, vous aurez toujours besoin de quelqu’un avec un casque. Son éventuelle entrée n’affecte donc pas les autres greffons du département, même si des considérations chiffrées seront encore faites : l’an dernier les trois propriétaires ont été pressés outre mesure, au point de tomber tous ensemble au moment le plus chaud, mais cette fois le le risque serait le contraire. Un engorgement entre très propriétaires et des réserves qui valent presque les propriétaires. Et, si c’est le cas, ce serait à Simone Inzaghi de gérer des dosages pas évidents.

polyvalent

De ce marché, l’Inter cherche toujours la polyvalence, entendue comme la qualité des simples à jouer sur plusieurs partitions. Si l’Arménien, désormais ex-Roma, a amplement donné ses preuves dans sa carrière, l’Anglais l’apprécie aussi car il sait se déplacer dans différents coins du terrain et l’a montré dans divers cycles des Bleus. Avec Mourinho, il avait été habillé en milieu offensif central dans un 4-2-3-1, tandis qu’Antonio Conte l’avait plutôt risqué dans une position encore plus offensive. Tuchel, en revanche, l’a (un peu) utilisé comme ailier et lors de la dernière finale de la FA Cup contre Liverpool, il lui a réservé les 14 minutes les plus bizarres de sa carrière : l’entraîneur allemand l’a fait entrer en prolongation, dans le 106e, mais il s’est fait retirer un instant avant de tirer des penaltys. La meilleure saison, cependant, a été 2018-19 avec Maurizio Sarri quand il a fait un milieu de terrain à haute intensité, plus ou moins là où Simone l’imagine. Le technicien de la Lazio souhaiterait également qu’il revienne à Rome, mais la route ne semble pas viable. Les équipes Premieri intéressées ne manquent pas, mais Loftus-Cheek est fortement attiré par l’Italie, saluée à plusieurs reprises par Lukaku avec qui il a noué une relation très étroite cette saison. Dans ce match, l’Inter, sournoisement, attend : le non à l’offre d’un achat définitif (coûteux) pourrait devenir un oui à un prêt beaucoup moins cher.



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