Inter, affaire des plus-values ​​: l’enquête va vers la demande de licenciement

Le parquet de Milan avait émis l’hypothèse du crime de fausse comptabilité, mais les enquêtes n’auraient rien révélé de pertinent sur le plan pénal

L’enquête, contre des inconnus, sur les plus-values ​​de l’Inter va vers l’archivage. Selon les rapports Gérer, c’est en fait le scénario qui émerge dans l’affaire à partir de l’hypothèse du parquet de Milan du délit de fausse comptabilité. En effet, les investigations n’ont révélé aucun élément pénalement pertinent pour poursuivre la demande de jugement.

Les recherches

Après les saisies – datant de décembre dernier – des appareils de certains dirigeants du club des Nerazzurri, des documents, mails et messages ont été examinés : cependant, l’analyse n’a pas porté ses fruits sur la vente de certains joueurs, dont les opérations (une dizaine au total ) faisaient l’objet d’une enquête. En tout, c’est environ 90 millions d’euros de plus-values ​​inscrites au bilan, certaines avec des valeurs jugées « disproportionnées » par rapport aux réelles. Cependant, il n’y a aucune confirmation en ce qui concerne les soupçons d’avoir embelli les budgets pour esquiver les maillots du Financial Fair Play pour participer aux compétitions de l’UEFA. Parmi les différentes opérations examinées, il y en a certaines liées à Gênes, de Ionut Andrei Radu à Zinho Vanheusden jusqu’à Andrea Pinamonti, mais le futur proche devrait prendre la forme de l’archivage du dossier.



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