L’homme de Hoogeveen qui a été condamné à douze ans de prison et au TBS avec traitement obligatoire pour avoir abusé sexuellement de six jeunes filles va faire appel. La femme de 37 ans originaire de Roermond n’accepte pas non plus la peine de cinq ans de prison prononcée pour avoir maltraité sa fille par les Hoogevener. La femme a également fait de la pédopornographie pour lui de ses propres enfants.
Michel T., 40 ans, a abusé des jeunes filles de 2018 jusqu’à son arrestation en juin 2021. Cela s’est produit après que deux sœurs, après une soirée pyjama avec l’homme et sa partenaire de l’époque dans un camping à Echten, aient dit à leurs parents qu’elles avaient été pelotées par l’homme. Lors de l’arrestation, les agents ont découvert de la pédopornographie sur le téléphone du Hoogevener. Ce sont des images réalisées par la mère limbourgeoise de ses propres enfants.
Les enregistrements téléphoniques ont montré que T a également abusé de la fille du Limbourgeois et après cela, des rapports ont été reçus de plusieurs parents. Les enfants avaient entre 5 et 13 ans. Ils avaient été maltraités dans le même camping à Echten et dans la maison de l’homme à Hoogeveen.
Le ministère public (OM) a requis une peine de prison de huit ans et TBS avec traitement obligatoire. Le tribunal a augmenté la peine de prison de quatre ans. La femme a également reçu une peine beaucoup plus lourde que celle exigée. Le tribunal a estimé que les demandes de condamnation ne rendaient pas justice à la gravité de l’affaire.
Michel T. a indiqué à l’audience qu’il était disposé à coopérer à un traitement. Si cela doit être infirmier forcé dans une clinique TBS, alors il peut vivre avec ça, dit son avocat Fred Kappelhof. La durée de la peine de prison est le goulot d’étranglement, dit l’avocat. Cela signifie que le Hoogevener ne peut commencer un programme de traitement qu’après dix ans. “C’est trop long, ça pourrait être plus court”, dit Kappelhof.