Noa Vahle, la fille de Linda de Mol, a pu rire de bon cœur d’une blague de René van der Gijp hier dans Today Inside. Elle était à l’émission avec une connexion en direct du Portugal.
Linda de Mol a arrangé un bon travail à Talpa pour sa fille Noa Vahle par l’intermédiaire de son frère John de Mol. En conséquence, à l’âge de 22 ans, elle est soudainement devenue la principale journaliste sportive de la société de médias. Elle pourrait même rendre compte de la finale de la Conference League de Feyenoord contre l’AS Roma la semaine prochaine.
grand talent
Noa était dans Today Inside hier avec une connexion en direct depuis le Portugal, où Feyenoord s’entraîne. « Ça va vite, hein, avec cette fille ? Wow ! », a fait remarquer Wilfred Genee après son reportage.
Johan Derksen : « C’est un grand talent. »
Leonie ter Braak : « Oui, je le pense aussi. »
Wilfred : « Il sera en finale la semaine prochaine ! Tirana ! »
Fille de Linda
Johan : « Cette fille est arrivée ici l’année dernière. Nous ne connaissons pas du tout cette fille, mais elle fait aussi très bien son travail ici. »
Léonie : « Elle est juste vraiment bonne. Oui je suis d’accord. Non, je le pense vraiment.
Wilfred : « Oui, mais les téléspectateurs à la maison pensent : c’est la fille de Linda de Mol, ils sont très positifs maintenant ! hahaha! »
Léonie : « Oh non ! Je pense que c’est nul ! »
‘Je n’aime pas ça!’
René van der Gijp fait alors une blague pour contrebalancer la pluie de bave de ses collègues. « Non, je n’aime pas du tout ! »
Noa, qui est toujours sur la photo, peut en rire de bon cœur. « Hahahaha.
René : « Laissez-moi faire le contrepoids alors ! »
Léonie : « Elle est juste bonne, elle est substantielle. »
Propre nom
Johan pense que c’est bien que Noa n’utilise pas le nom De Mol. « Elle utilise son propre nom, celui de son père. Vahlé, tu sais. Je pense que c’est très bien aussi. Elle ne flirte pas avec ce nom De Mol.
Cuisiner avec le nom De Mol ? Pendant que cette moitié de la famille est assise sur le banc de la réserve à cause de scandales ? Eh bien, pas si. Noa pousse probablement un soupir de soulagement depuis quatre mois maintenant qu’on lui a donné le nom de son père.