F1, Ben Sulayem : "Ce n’est pas vrai que je veux plus d’argent pour les sprints du samedi"

Le président de la FIA au Daily Mail : « J’ai seulement demandé du temps pour comprendre si mon staff retarde l’effort ». Le budget dans le rouge malgré les 40 millions de dollars annuels des généralistes

Son non n’est pas définitif et n’est pas lié à une question d’argent : ainsi le président de la FIA, Mohammed ben Sulayem, a répondu dans une interview au quotidien britannique Daily Mail d' »avarice », pour avoir envoyé (temporairement ?) plan du Groupe Formule 1 et des équipes pour élargir la course sprint avant à partir de 2023, les courses qualificatives samedi sur 100 km sans arrêts aux stands, pour déterminer la grille de départ, de trois à six, en votant contre la dernière Commission F1. « Je n’ai pas demandé plus d’argent et si je l’avais eu je l’aurais dépensé pour le bien du sport », a souligné le président qui a succédé à Jean Todt en décembre dernier. « Je soutiens la course si c’est la bonne chose à faire, je ne dis pas que ce n’est pas (cela; ndlr) mais en réalité je veux comprendre si le personnel fédéral est capable de soutenir cet effort. Ce n’est pas quelque chose pour l’immédiat mais pour 2023, la maison n’est pas en feu.

De l’argent

La F1 contribue au budget de la FIA à hauteur de 40 millions de dollars (38 millions d’euros) mais en 2021 la fédération a tout de même subi une perte de 27,6 millions de dollars. Pour cela, Ben Sulayem a décidé d’imposer une réduction des coûts de 25 %.



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