Tout s’est passé à Buenos Aires, où Wanda a également signalé la présence d’armes : “Je vais aussi donner une maison à Maxi Lopez, mais j’en avais besoin pour des raisons personnelles”
L’histoire entre Icardi et Wanda Nara s’enrichit d’un nouveau chapitre, de nouveaux détails, de nouveaux arguments. Le tout à Buenos Aires, dans la maison de Wanda prêtée à son désormais ex-mari Mauro pour faire face à la rééducation après la blessure au genou subie avec Galatasaray. Mais cela ne s’est pas bien passé : l’ancien attaquant de l’Inter a été expulsé et exclu de l’appartement. C’est le dernier chapitre d’une dure bataille – juridique et autre – après la plainte de Wanda pour le prétendu vol d’argent par Mauro pour la séparation.
les faits
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Reconstituons ce qui s’est passé : Wanda a prêté sa maison de Buenos Aires à Mauro, mais en même temps lui a ordonné d’y rester jusqu’au 25 novembre. Ce n’était pas le cas et Wanda s’est alors présentée devant la maison au milieu de la nuit – accompagnée de quelques personnes de son entourage – et a dit à Mauro de quitter la maison immédiatement. Après son refus, Wanda a appelé la police en disant que la pointe cachait également des armes. Les policiers ont tout fouillé pendant cinq heures, mais n’ont rien trouvé. Ce qui a déclenché la colère de Wanda, c’est la notification du jugement de divorce.
contre-plainte
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C’est à ce moment-là que la contre-déclaration a été déclenchée par Icardi, hébergé chez un ami : selon lui, son ex-femme lui aurait volé des montres, des billets et d’autres bijoux de valeur. Les agents italiens de Mauro sont constamment en contact avec lui pour comprendre l’évolution de la situation. Lorsqu’ils ont demandé à Wanda la raison de l’expulsion, elle a commenté ainsi : “Je lui ai prêté ma maison avec mon cœur, comme je le ferais avec n’importe qui ou comme je le fais aussi avec mon ex-mari Maxi Lopez chaque fois qu’il revient ici. Mais il aurait pu y rester jusqu’au 25 novembre, puis j’en avais besoin pour des raisons personnelles.” C’est son histoire aux médias locaux.
Gazzetta du Sport
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