Dans le cadre des enquêtes sur les massacres mafieux de la période biennale 1993-1994, menées par la Dda de Florence, les carabiniers du Florentin Ros ont procédé à un arrêté de perquisition, inspection et saisie en Lombardie contre une femme qui, selon De ce qui ressort, les enquêteurs émettent l’hypothèse qu’elle a été impliquée dans l’exécution matérielle de l’attentat de juillet 1993 à Milan, en concurrence avec des membres de Cosa Nostra déjà condamnés définitivement. La femme, selon ce qui a été expliqué, est soupçonnée d’avoir conduit et garé la Fiat Uno bourrée de TNT qui, dans la nuit du 27 au 28 juillet à Milan, a explosé via Palestro, tuant cinq personnes et causant des dégâts considérables au pavillon d’art contemporain.
L’hypothèse d’un crime
L’hypothèse du crime est celle du massacre, en concurrence avec des membres de la mafia déjà condamnés tels que Totò Riina, Bernardo Provenzano, Leoluca Bagarella, les frères Graviano et Matteo Messina Denaro, avec la circonstance aggravante d’avoir agi à des fins de terrorisme et de subversion du l’ordre constitutionnel et pour faciliter les affaires de Cosa Nostra.
Les victimes de l’attentat
Cinq personnes ont perdu la vie via Palestro, les pompiers Carlo La Catena, Sergio Pasotto et Stefano Picerno, le policier municipal Alessandro Ferrari et Moussafir Driss, un migrant marocain qui dormait sur un banc. Tué par l’explosion qui a détruit le pavillon d’art contemporain. Quelques minutes plus tard, deux autres explosions se produisent à Rome (sans faire de victimes), près de la Basilique de San Giovanni in Laterano où se trouve la Curie et devant l’église de San Giorgio al Velabro.