Amendes routières, toutes majorées : excès de vitesse jusqu’à 4 000 euros, stationnement sauvage au 776 et aux feux rouges 195 euros


Enfreindre le code de la route à partir du 1er janvier pourrait coûter de plus en plus cher. L’excès de vitesse, désormais l’amende la plus contestée pour les automobilistes italiens, pourrait atteindre 203 euros si vous dépassez jusqu’à 10 km/h la limite de vitesse (le minimum dans ce cas passerait de 42 à environ 50 euros), pour aller jusqu’à 800 euros. si vous dépassez la limite de vitesse de 40 à 60 km/k, voler pour 2 300 euros de 40 à 60 kilomètres de plus et monter en flèche 4 000 euros sur 60 km/h.

Pas seulement ça. L’autre amende majeure sanctionnée en Italie et dans les grandes villes est celle du stationnement illégal. Dans ce cas également, les amendes élevées pourraient augmenter les amendes à 194 au minimum jusqu’à 776 pour les interdictions de stationnement les plus sévères, tandis que pour les cyclomoteurs, elles passeraient d’un minimum de 98 à un maximum de 385 euros.

Et griller un feu rouge ne vaut peut-être vraiment plus la peine étant donné que l’amende pourrait atteindre près de 200 euros (195 euros pour être précis). C’est la traduction pratique du risque d’être heurté par des automobilistes indisciplinés en raison d’infractions au code de la route, qui à partir de 2025 pourrait prévoir une augmentation estimée à environ 17,6 pour cent.

Si le gouvernement n’intervient pas sur la loi de finances, le fardeau des amendes routières sera purgé, comme l’a rappelé ces derniers jours l’Union nationale des consommateurs dans une note.

Inflation sur 4 ans avec une augmentation de 17,6%.

Un coup annoncé. En 2022, le Gouvernement, avec la Loi de Finances 2023 (article 1, paragraphe 497, Loi du 29 décembre 2022, n. 197), compte tenu de la situation économique post-pandémique exceptionnelle pour les années 2023 et 2024, avait seulement suspendu la mise à jour biennale. des sanctions administratives pécuniaires expressément prévues par l’article 195 du code de la route (décret législatif du 30 avril 1992, n° 285).



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