La Hollande du Nord trouve un refuge pour 10 000 demandeurs d’asile, il en faut davantage

De nombreuses municipalités indiquent qu’elles ne savent pas encore où elles accueilleront les demandeurs d’asile. Cela concerne par exemple une grande partie des communes de la Frise occidentale. Par exemple, la commune d’Enkhuizen déclare avoir un emplacement en tête, mais ne communiquera pas au conseil municipal où se trouve cet emplacement avant la mi-décembre.

2. Y aura-t-il encore une loi de répartition pour arrêter les communes ?

La loi de la distribution est sur le point de se couper. La ministre PVV de l’Asile et de la Migration, Faber, a déjà indiqué à plusieurs reprises qu’elle souhaiterait s’en débarrasser le plus rapidement possible. Dans les rapports publiés aujourd’hui, les commissaires du Roi lui ont demandé conjointement de maintenir la loi jusqu’à ce qu’il existe une alternative pour répartir les demandeurs d’asile à travers le pays.

En même temps, les provinces ont besoin que le Cabinet fasse respecter la loi. Eux-mêmes n’ont pas la capacité d’imposer des contraintes aux municipalités.

3. Quelles communes n’atteignent pas l’objectif ?

Zandvoort à gauche l’été dernier on sait déjà qu’il ne veut pas réaliser de places tant que la loi de répartition est sur le billot. Le rapport d’aujourd’hui confirme ce tableau : Zandvoort ne créera des refuges que si le gouvernement change d’avis et déclare vouloir maintenir la loi de dispersion. D’ici là, la municipalité ne fera rien.



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