Léontien van Moorsel se demande en direct à la télévision si les enfants de Sieneke Peeters sont en sécurité si elle amène toujours sa progéniture chez grand-mère et grand-père. “C’est très étrange.”
Eh bien, le divorce entre Sieneke Peeters et Jan Baum devient de plus en plus rance de jour en jour. Il déclare qu’elle éloigne leurs enfants de lui et c’est pourquoi il sollicite beaucoup l’attention des médias cette semaine. Selon Jan, il dispose déjà d’une décision de justice qui l’autorise à se rendre à Sieneke avec la police pour y récupérer les enfants. En arrivera-t-il à cela ?
« Ça ne va pas ! »
Le patron privé Evert Santegoeds trouve étrange que Jan ne soit pas autorisé à emmener les enfants avec lui. « Elle semble faire ça depuis le 20 août de cette année. Elle laisse entendre que cela a à voir avec les enfants maltraités par Jan. Eh bien, vous l’aurez deviné : Jan n’est absolument pas d’accord avec cela”, explique-t-il au bureau. Afficher les actualités.
Les choses vont vraiment mal, dit Evert. « Un incident était qu’il voulait tellement voir ces enfants qu’il est allé les chercher dans la cour d’école. Alors Sieneke les avait appelés malades. Ensuite, il y a eu une discussion avec cette école, parce qu’ils ne veulent pas de ce genre de choses, parce qu’il n’est pas sûr que de telles situations se déroulent dans la cour d’école.
Léontien inquiet
Selon Jan, les enfants sont souvent avec leur grand-mère et leur grand-père car Sieneke doit jouer. La maison de grand-mère et grand-père est en août tiré sur et il y a quelque chose de louche dans cette chose.
Léontien van Moorsel est assis à côté d’Evert au bureau et note : « Mais c’est en fait très étrange, parce que le service de protection de l’enfance, euh… Ces enfants ne sont pas autorisés à être avec lui, mais ils sont souvent avec grand-père et grand-mère et on tire sur cette maison. N’est-ce pas très étrange ? »
« Ne sont pas en sécurité ! »
Evert comprend ce qu’elle veut dire. “Si elle dit : ‘Les enfants ne sont pas en sécurité avec Jan’, alors je ne sais pas ce qui arrive à Jan.”
Léontien craint pour la sécurité de ces enfants. « Alors ils ne sont pas en sécurité là-bas, n’est-ce pas ? Parce que grand-mère et grand-père font très souvent du babysitting.»
À travers les volets
Evert convient que ce qui s’est passé n’était pas grave. “La police ne les a pas autorisés à entrer chez eux pendant longtemps, car on ne savait pas exactement quel était le contexte de la fusillade, au cours de laquelle les balles ont été tirées à travers les volets.”
Léontien : “Alors je pense : les gars, allez.”