Déclaration syndicale


Ces dernières heures, Il Sole 24 Ore s’est intéressé à plusieurs niveaux à l’enquête menée par le parquet de Milan sur une série de délits largement imputables à l’accès illégal à des bases de données confidentielles. Mon collègue Gianni Dragoni, à la lecture des documents joints aux ordonnances de détention provisoire, apparaît parmi les journalistes interceptés dans l’exercice de son activité professionnelle. À Gianni, à tous les collègues impliqués, la plus grande solidarité de la rédaction d’Il Sole 24 Ore.

Dans les informations antérieures aux ordonnances, telles que rapportées par le journal lui-même, on trouve également des références au directeur général du groupe 24 Ore et au directeur du journal. Ils ont nié tout contact avec les sociétés faisant l’objet de l’enquête, ainsi que toute demande ou utilisation de dossiers constitués illégalement. La rédaction exprime son inquiétude quant à la stabilité de la réputation d’une entreprise dont l’activité caractéristique est l’information, espère que l’entreprise et la direction prendront toutes les initiatives utiles pour protéger l’intégrité des employés de l’entreprise, et assure à tous les lecteurs et à tous les lecteurs une information complète et opportune sur toute l’enquête et sur tous les faits qui pourraient impliquer Il Sole 24 Ore.
Le CDR



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