Des trottoirs qui restent ouverts pendant des semaines pour le travail, des scooters partagés qui semblent avoir une attirance les uns pour les autres, sans parler des vélos cargo garés. Ils apparaissent fréquemment dans les entrées d’un concours photo de ‘Drempelloos Haarlem’. Pauline van Heuven, elle-même malvoyante, souhaite sensibiliser les habitants de Haarlem à l’accessibilité de la ville.

v – Haarlem sans seuil

Pauline est donc le site l’année dernière Haarlem sans barrières a débuté. Le concours photo est l’un de ses premiers faits d’armes pour attirer l’attention de ses concitoyens sur les obstacles qu’elle et son chien guide Irsa rencontrent au quotidien. La photo de la situation la plus frappante sera annoncée cet après-midi.

Facile à résoudre

Les photos, soumises par des adultes et des enfants, montrent principalement de nombreux panneaux de signalisation rouges et blancs. Et selon Pauline, ce sont des obstacles faciles à résoudre. « Vous pouvez faire des embranchements à partir de la bande de guidage pendant les travaux si cela prend un peu plus de temps. Ou indiquer bien à temps aux automobilistes avec un panneau indiquant que des piétons arrivent sur la route. »

Pauline en a déjà discuté lors d’une réunion d’introduction avec le maire Jos Wienen. Elle a indiqué qu’elle étudiait sa «liste de points à laver» et qu’elle voyait ce qui pouvait être fait rapidement.

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Inscriptions concours photo Drempelloos sur les travaux routiers – Drempelloos Haarlem

Le concours photo vise principalement à sensibiliser les habitants de Haarlem à leur propre environnement. « Je veux que les gens apprennent à regarder l’accessibilité de leur propre quartier. Ce n’est pas dans votre système, pendant que je suis trempé dedans et que je vois où ça va mal. »

Erreur Parker

Pauline voit également sur les photos fournies qu’il s’agit encore principalement de cyclistes et scooters mal garés.

Elle-même « voit » des obstacles plus structurels. Comme la voie de guidage pour les malvoyants sur le Gedempte Oudegracht dans le centre-ville, où les vélos sont garés en permanence. « Parce qu’il y a des supports à vélos à côté d’eux et quand ils sont pleins, les gens branchent leur propre vélo à côté. Et puis ils sont sur cette bande. » Pauline préfère donc ne pas voir de porte-vélos à proximité des bandes de guidage.

terrasses

Les terrasses sont également une gêne récurrente, surtout maintenant qu’elles pourraient être agrandies plus largement pendant les mesures corona. « Je suis sûr que 99 % des entrepreneurs de la restauration comprennent quand je dis quelque chose à ce sujet, mais 1 % continue obstinément à mettre les chaises sur le chemin. » Si les terrasses doivent à nouveau être réduites d’ici le 1er octobre, elle espère obtenir plus d’espace.

« Et j’y ai droit selon la Convention des Nations Unies sur le handicap. Dans la rue, le trottoir doit être aussi dégagé que possible afin qu’Irsa puisse me guider en toute sécurité et que nous n’ayons pas à emprunter inutilement la rue dangereuse. »

Ceci est un message des co-rédacteurs en chef



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