De « Love Island » à Snowbunny : Dami Hope parle de son parcours professionnel


Dami décrit Snowbunny comme le reflet de son style personnel : audacieux et sans vergogne. « Il ne s’agit pas seulement de vêtements ; c’est un style de vie pour ceux qui veulent se démarquer », dit-il. Mais lancer une marque n’est pas que des arcs-en-ciel et des papillons. Lorsque Snowbunny a fait ses débuts, certains critiques avaient beaucoup à dire sur le nom et ses associations. Mais Dami ne s’est pas laissé envahir par la négativité. « Ce nom me disait quelque chose personnellement, explique-t-il. « Les gens peuvent créer du bruit qui n’est pas réel, et il suffit de s’en tenir à sa vision. » Dami a partagé que le nom Snowbunny venait à l’origine de son premier design, qui était un sweat à capuche représentant un lapin portant une cagoule. Il a déclaré : « J’étais juste un gars avec un rêve… Mon tout premier dessin ressemblait littéralement à… un lapin avec une cagoule. » Il voulait que la marque symbolise le fait d’être remarqué tout en conservant un élément d’anonymat, reflétant son style personnel et son parcours créatif.

Naviguer sur les réseaux sociaux peut être brutal, surtout lorsque les opinions circulent plus vite que vous ne pouvez les faire défiler. Dami a fait face à son lot de réactions négatives, mais il a appris à garder la tête haute. « Si vous croyez en votre vision, vous devez aller de l’avant. Les gens auront toujours quelque chose à dire, mais vous ne pouvez pas laisser cela dicter votre vie. » C’est ce genre de résilience qui le distingue, d’autant plus qu’il continue d’évoluer dans sa carrière.

Mais il ne s’agit pas uniquement de travail ; la famille est tout pour Dami. Depuis le décès de son père, il est animé par le désir de rendre sa famille fière. « La perte de mon père m’a fait voir la vie différemment. Maintenant, je me sens comme l’homme de la maison », réfléchit-il. « Tout ce que je fais est pour eux. » Sa voix s’adoucit lorsqu’il parle de sa famille, et on sent l’amour et la responsabilité peser sur lui. « Je veux les déplacer l’année prochaine dans la banlieue de Londres, où ils pourront avoir une vie meilleure », ajoute-t-il.



ttn-fr-65