A Birmingham, les rossoblù ne dépassent pas le poste de Beukema. Les hôtes sont invaincus en tête sans avoir encore encaissé de but. Buts de McGinn et Duran
Dix minutes et Bologne s’enfonce dans ses ennuis. Ce sont eux qui décident du match de Villa Park contre Aston Villa, depuis le but moqueur avec lequel John McGinn a donné l’avantage aux hôtes à la 55e minute jusqu’à celui avec lequel Jhon Durán, pour la première fois titulaire dans un match qui compte vraiment, il le clôture à la 64e minute. Ces 10 minutes ont eu pour effet d’envoyer l’équipe d’Unai Emery en tête de la Ligue des Champions avec le plein de points avec 9 points en 3 matchs et de faire sombrer l’équipe de Vincenzo Italiano, toujours sans but en Europe et bloquée au point de la première journée. avec le Shakhtar. Cette défaite de Villa Park pèse plus que celle de Liverpool, même si le résultat est toujours 2-0 : pour les Rossoblu, c’est le cinquième match consécutif sans victoire, un autre match prometteur transformé en une nouvelle déception à ajouter à cela début de saison.
les clés
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Aston Villa a toujours gagné le match, mais Bologne n’a pas mal fait en première mi-temps. Equipe bien placée sur le terrain, des zones en souffrance comme le couloir droit où Orsolini a fait un effort fou contre Maatsen mais globalement un bon match comme à Liverpool. Ces dix minutes en seconde période ont tout changé. Aston Villa le méritait, mais le 1-0 de McGinn est l’un de ces coups francs moqueurs qui commencent par un centre et se frayent un chemin dans le filet parce que personne ne les touche. Une blague si difficile à digérer que Bologne s’arrête et Aston Villa termine avec Durán, habituellement un joueur de banc avec l’habitude de marquer des buts (il avait été le héros de la victoire des Villans contre le Bayern, lors du premier match à domicile en championnat Compétition européenne après 41 ans), cette fois titulaire sans perdre sa meilleure qualité. Emery a encore une fois fait tout ce qu’il fallait, il a trouvé le moyen de faire ressortir le meilleur d’une équipe qui en plus d’avoir remporté 3 matchs sur trois dans cette compétition qui, il y a seulement deux ans, lorsque l’entraîneur espagnol est arrivé à Birmingham, Je ne pouvais même pas rêver qu’il n’avait pas encore encaissé de but. Italiano comptait sur avoir fait les bonnes choses, encouragé par une première mi-temps positive. Au contraire, Bologne a succombé à nouveau et revient de Birmingham avec une défaite comme à Liverpool mais avec moins de certitudes qu’après la défaite à Anfield.
le match
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Aston Villa mène le match en première mi-temps, mais Bologne tire en premier au but et quand ils coulent, ils trouvent un moyen d’être traîtres. Nous repartons de 0-0, avec Italiano faisant appel à Odgaard pour Orsolini épuisé et Emery mettant Barkley au milieu du terrain à la place d’Onana blessé. La donne change car à la 55e minute McGinn invente un coup franc venimeux qui fait exploser Villa Park. Bologne perd, Aston Villa en profite et à la 64e minute double la mise avec Duran, qui se moque de Lucumi au centre de la surface et dépasse Skorupski pour le 2-0. Emery effectue trois remplacements, Italiano tente de réparer le rossoblù mais la tentative de retour atteint son apogée sur le poteau que Beukema frappe de la tête à la 86e minute.
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