Mota se déchaîne, avec un doublé il entraîne Monza vers sa première victoire. Vérone, lourd KO


L’attaquant le débloque d’abord d’une belle volée du pied droit puis le referme sur le contre de Djuric. Sceau de Blanc. Des Vénitiens méconnaissables

Voici la première victoire de Monza, qui était la seule équipe sans succès avant d’arriver à Vérone et de donner une leçon de football à un Hellas méconnaissable. Dani Mota a été décisif avec un superbe doublé avant le glaçage de Bianco, mais toute l’équipe de Nesta mérite des applaudissements pour sa candidature. Bien sûr, Suslov et ses coéquipiers les ont aidés en attaquant mal et en défendant encore moins bien.

le match

Monza commençait bien tout de suite et ouvrait le score après la 8e minute grâce à une belle volée du pied droit de Dani Mota suite au changement de jeu de Caprari. Prouesses balistiques également dans la façon dont le ballon passe d’abord entre les jambes de Bradaric puis se moque de Montipò pour finir dans le coin opposé. Hellas tente de réagir, mais le fait sans clarté, également parce que le choix de Nesta de se concentrer sur la qualité, avec Pessina au milieu de terrain, paie le sacrifice de son équipe, avec des milieux offensifs bons pour apporter le premier pressing et Bondo inépuisable pour asphyxier Belahyane de qui les idées des Vénitiens devraient surgir. Suslov et Lazovic ont du mal à démarrer à l’extérieur, tandis que Tengstedt a du mal à démarrer à la pointe et Mosquera ne reçoit pas de ballons jouables. La pression de l’équipe locale est généreuse mais déroutante, alors qu’au début de la seconde mi-temps, Djuric gaspille d’abord le 2-0 avec la spécialité maison, la tête, puis Pessina en contre-attaque tire sur Magnani et Kyriakopoulos ébrèche la barre transversale avec son pied gauche. Et même lorsque Pessina lui-même perd un ballon sanglant, Tengstedt et Serdar (qui viennent d’entrer avec Kastanos et Sarr pour les ennuyeux Duda, Suslov et Mosquera) gaspillent un trois contre deux. Nesta retire un Caprari épuisé pour insérer Bianco et soulever Pessina. Kastanos et Ghilardi frappent mais Turati n’ouvre pas la porte. En effet, il revient pour Djuric du côté duquel Mota prend le temps de Bradaric et à la 74e minute Montipò froidement à quelques mètres. Dès son entrée, Faraoni termine l’omelette avant d’être anticipé par White lui-même qui place le trio de la fête.



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