NOTRE OPINION. Notre dépendance énergétique et notre défense sont au centre des préoccupations. Pourquoi faut-il toujours une crise pour remarquer où les roues ont tourné ?

« Le monde a changé. C’est la guerre. » Tinne Van der Straeten (Groen) l’a indiqué lorsque ‘VTM Nieuws’ l’a interrogée sur la sortie du nucléaire pour la énième fois. On ne peut pas appeler ça un virage. On peut dire que les deux options sont toujours sur la table, mais que c’est la guerre. Tinne Van der Straeten est toujours exactement au même endroit qu’il y a quelques mois, quand Egbert Lachaert croyait encore qu’un cadavre ne pouvait plus être ressuscité. Outre le prix et la sécurité d’approvisionnement, un troisième argument apparaît soudain dans l’histoire de la sortie du nucléaire : la dépendance énergétique.



ttn-fr-3