Guardiola et Baggio à la télé, larmes et rires : « Cette fois avec Mazzone avec le chien… »


A « Che tempo che fa », vous accueillerez les deux anciens coéquipiers de Brescia et grands amis. Pep est ému quand il voit Robi en ligne

13 octobre 2024 (modifié à 21h48) -MILAN

Roberto Baggio et Pep Guardiola, grands amis et anciens coéquipiers de Brescia au début des années 2000, se sont retrouvés ensemble dans le studio de Fabio Fazio sur « Che tempo che fa », à la Nove. Des « retrouvailles » plus de vingt ans après, riches en émotions. L’entraîneur de Manchester City, lorsqu’il voit Baggio connecté, est ému. Des larmes et des rires, la promesse de se revoir bientôt dans les prochains jours et de l’espace pour les souvenirs. «J’aurais adoré jouer plus d’années avec lui. Je l’ai toujours trouvé sur le terrain. Je me suis bien amusé à Brescia. » Même en dehors du terrain, comme le dit Baggio : « Mazzone avait peur des chiens et avait mal traité un de mes coéquipiers parce qu’il avait amené son petit chien à l’entraînement. Au bout de 10 jours je suis arrivé avec mon labrador. Mazzone est sorti du vestiaire, a vu le chien courir, a eu peur et a demandé de qui il s’agissait. « Monsieur, ça vient de Robi ». Et il a dit : ‘Aò, laissons-le jouer, donnons-lui un biscuit' ».

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Compliments mutuels entre les deux. Pour Guardiola, Baggio « est le plus grand talent avec lequel j’ai joué. J’ai rencontré Robi à la fin de sa carrière, il avait un genou qui ressemblait à une machine à laver, il ne pouvait pas bouger. Robi a gagné l’admiration de tous, il n’y a personne en Italie qui ne l’aime pas, parce qu’il est différent. » Baggio répond : « Le secret du succès de Pep ? C’est avant tout une bonne personne, joyeuse, positive, disponible. Il était déjà entraîneur lorsqu’il était joueur. »

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Guardiola, qui renouvelle son hommage à Cruyff (« Je ne peux pas imaginer ma vie de footballeur sans lui »), évoque également son avenir, après les bavardages de ces derniers jours. « Ma dernière année à Manchester ? Je dois réfléchir, je n’ai pas encore décidé si je vais rester ou partir. » Et il en plaisante : « Si Robi m’accompagne, peut-être que je viendrai m’entraîner en Italie. »





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