Les réactions sur les réseaux sociaux ces dernières semaines montrent à quel point cette question est sensible. « Des gens veulent nous jeter de la graisse de friture ou nous disent de nous attendre. Vous ne savez tout simplement pas ce qui va se passer », déclare Merve Kaçmiş de la fondation We Promise, l’un des organisateurs. La fondation déposera un rapport.
Il y a quatre ans, les choses ont complètement dérapé après une manifestation, mais cette fois, tout s’est bien passé. Ridhwan Ohorella est également heureux d’avoir pu raconter son histoire. Il est l’un des descendants des îles Banda. L’endroit où des milliers d’habitants ont été assassinés pour le compte de JP Coen.
« Correction de l’histoire »
« C’est la première fois que je viens ici devant la statue. Cela signifie quelque chose pour moi. Notre histoire a toujours été cachée. Il s’agit toujours uniquement de succès. Je ne suis pas d’accord avec cela. Je vois cela comme une correction du l’histoire et je pense que nous devons briser le silence. »