Lors d’une audience préliminaire à Jaipur, la police indienne a dû admettre au tribunal que depuis le meurtre, elle avait perdu les preuves et n’avait pas pu les récupérer – parce qu’un singe les avait volées
Image : Getty Images)
Un procès à mort a dû être interrompu après qu’un singe se soit enfui avec les preuves.
Il s’est emparé d’un paquet contenant 15 objets… dont le couteau présumé du meurtre.
Lors d’une audience préliminaire à Jaipur, dans le nord de l’Inde, la police a dû admettre que depuis l’agression, elle avait perdu les preuves et n’avait pas pu les récupérer. Bizarrement, il avait été laissé sous un arbre car il n’y avait pas de place pour le stocker au commissariat.
Et le constable chargé de veiller sur elle avait été suspendu, mis à la retraite puis décédé.
Les aveux embarrassants de la police sont venus dans une note écrite au tribunal après qu’on leur ait ordonné de produire les preuves à utiliser dans l’affaire.
Il s’agit de Shashikant Sharma, retrouvé mort près d’un poste de police de Jaipur à Jaipur en 2016. Deux hommes ont ensuite été inculpés. Le procureur général a réagi avec colère à la bavure policière, qualifiant l’excuse « d’inhabituelle ».
Le tribunal a également exprimé sa frustration.
Une lettre a été envoyée au surintendant de la police rurale de Jaipur lui demandant de clarifier les événements et d’expliquer comment un singe a pu voler les preuves.
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