La législation de Vuonoma ne répond pas aux critères internationaux.

Le stade Bislett d’Oslo accueille la compétition annuelle d’athlétisme de la Ligue de Diamant. EPA/AOP

Les contrôles antidopage norvégiens ont sombré dans une crise, nouvelles Radiodiffuseur public norvégien NRK.

PDG de l’Agence norvégienne antidopage (ADNO). Anders Solheim dit que le problème

– Nous avons l’impression d’être à la traîne dans la lutte contre le dopage parce que nous manquons de base juridique pour bon nombre de nos activités, dit Solheim.

Il cite trois points problématiques qui devraient être résolus dans les plus brefs délais.

– Nous avons besoin d’une autorisation légale pour tester les mineurs et traiter les données personnelles. Nous avons également besoin d’une autorisation pour que la police et les douanes puissent partager avec nous des informations relatives aux violations de la législation antidopage.

La coopération limitée des autorités signifie que des tricheurs antidopage pourraient entrer dans les fjords pour concourir sans qu’ADNO en soit informé.

Solheim considère le besoin urgent de mouvements de posture. Selon lui, les obstacles à un bon travail antidopage peuvent également conduire au fait que la Norvège ne peut pas organiser de compétitions internationales ni y participer.

– Si vous ne pouvez pas effectuer de contrôles antidopage, dans le pire des cas, cela pourrait vous empêcher de participer, résume-t-il.



ttn-fr-49